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22 juillet 2007

Le rôle des mosquées

Le principe de protection des biens culturels et la présentation de l'islam comme "religion de paix" correspondent de moins en moins à la réalité en ce qui concerne les mosquées. Il ne s'agit pas ici de dévoiement ou de détournement, chose assez commune dans les conflits, puisque les bâtiments religieux offrent généralement des points de vues avantageux qui en font des postes d'observation prises, mais bien d'une utilisation combattante délibérée, qui viole directement le droit des conflits armés et qui montre le lien, voire la consubstantialité, entre les appels au djihad et sa mise en oeuvre.

Voici des années que des mosquées sont utilisées en Irak pour appeler à la violence (y compris terroriste), pour stocker des armes et des munitions, pour abriter des combattants et leur offrir une protection supplémentaire : durant la bataille de Falloujah en novembre 2004, la moitié des 100 mosquées que compte la ville ont ainsi été utilisées. De même, la récente prise de la mosquée rouge à Islamabad a montré que les forces pakistanaises ont dû affronter des combattants équipés de fusils d'assaut, de mitrailleuses, d'armes antichars ou encore d'explosifs, et qu'ils été retranchés dans des lieux fortifiés, ceci sous la direction de l'imam islamiste abattu au terme de l'opération.

Ces exemples tirés du monde arabo-musulman sont un augure inquiétant au lendemain de l'arrestation en Italie d'un imam et de ses adjoints dans une mosquée transformée en lieu de recrutement et d'entraînement au djihad :

Italian anti-terror police said they found barrels of chemicals and instructions on how to pilot a Boeing 747 in the Ponte Felcino mosque on the outskirts of Perugia, a city known for its Renaissance architecture and idyllic countryside. A fourth suspect was being sought.
"The investigation has shown that, in the Ponte Felcino mosque, there was a continued training for terrorist activity," anti-terror police head Carlo De Stefano said. "We have discovered and neutralized a real 'terror school,' which was part of a widespread terrorism system made up of small cells that act on their own."
Police identified the imam as 41-year-old Korchi El Mostapha, and his two aides as Mohamed El Jari, 47, and Driss Safika, 46. A fourth Moroccan suspect was believed to be abroad. All four were suspected of conducting training with the aim of international terrorism.

Bien entendu, cet événement a une dimension nettement moindre, et fait plutôt penser à une petite cellule d'exaltés et d'amateurs ultraminoritaires ; il reste d'ailleurs à démontrer leur capacité matérielle à exécuter une attaque terroriste, car il y a loin du téléchargement de vidéos sur Internet au passage réussi à l'acte combattant. En même temps, cette utilisation délibérée d'une mosquée comme outil de guerre et les liens entretenus avec la mouvance islamiste en général montrent que l'on ne peut prévenir ou remporter une guerre sociétale sans accepter de prendre en compte toutes ses dimensions et toutes ses manifestations, sans renoncer à ses propres conceptions pour intégrer celle nos ennemis déclarés.

Une manière également de souligner que les minarets ne sont qu'un aspect presque incongru d'un problème bien réel...

Publié par Ludovic Monnerat le 22 juillet 2007 à 19:57

Commentaires

La religion islamique est fondée sur la haine et la guerre, de manière aussi concrète et sanglante que possible. Avec le temps, elle s'est certes approprié d'autres éléments, mais, à l'image des arabesques ornant ces casernes que sont au fond les mosquées, ceux-ci restent périphériques, facultatifs, décoratifs, trompeurs.

Publié par ajm le 23 juillet 2007 à 10:19

Pour saisir le rôle des mosquées il faut absolument se mettre à la place du "croyant" et se départir totalement de toute équivalence avec un lieu de culte d'infidèles. On se rapellera que c'est justement l'une des fonctions essentielles de la mosquée que de matérialiser cette distinction entre "sa" vérité et "notre" erreur congénitale de ne pas nous "soumettre" aux préceptes de l'islam, c'est à dire à la shar'îa entendu comme sentier d'Allah. La mosquée crée ou plutôt réhabilite, restitue à Allah un espace d'islam: le fameux "dar el islam". La mosquée est donc bcp plus qu'un abri cultuel, elle est un territoire. Régi par ses propres règles: le fiqh ou droit islamique bien compris.

Ensuite, il faut comprendre ce que le concept de "prière" signifie: un acte parfait de "soumission" (sens du mot islam) par conformité stricte à la shar'îa. Le principe d'unicité d'Allah (tahwid) fait de ce dernier un être séparé qu'il est non seulement impossible mais interdit d'imaginer dans un dialogue avec l'orant. La prière est donc acte séparé elle aussi.

Enfin la première mosquée fut historiquement un lieu tenant plus du quartier général militaire que du sanctuaire mystique... Elle a conservé ce rôle politique, reflet de l'inséparabilité du militaire, du social et de la soumission (plutôt que "religion" qui signifierait ce lien interdit à Allah). On y apprend comment mieux se soumettre à la shar'îa, comment la propager (c'est-à -dire y soumettre les mécréants) et comment la défendre, quelle que soit les nuances désordonnées d'application, découlant du défaut de contrôle hiérarchique, en l'absence de principe de tout clergé (chez les sunnites).

Bref la mosquée n'est ni un temple, ni une église, ni une synagogue, ni une pagode, c'est une enclave de regroupement (on la nomme aussi djami: "regroupement") destinée à propager la soumission à ses règles (Mosquée se dit masjid en arabe et porte la racine sajada, qui signifie mettre le front au sol). Parmi ces règles, figure la "légitime défense" de l'islam: le jihad. Légitime défense qui s'entend de toute action destinée à lutter contre les infidèles, les Kufar (kâfirun), ceux qui "couvrent" la vérité islamique narcissique de leur contestations nécessairement criminelles.

Comment s'étonner qu'elle serve de casemate armée? Comment ne pas y voir un projet de remplacement drastique de notre démocratie honnie?

Il est temps d'adapter nos articles 265 et suivants du code pénal suisse.

Publié par louis le 23 juillet 2007 à 12:08

Oui, mais que faire lorsque l'on constate l'effarante dhimmitude de notre gauche chérie, et le léchage de babouches du PDC et des autorités religieuses locales? Ce sera mignon notre petite Suisse pleine de petits minarets en forme de missiles, avant l'installation de la grosse sono qui va avec (je ne sais pas si vous êtes déjà allés dans le Golfe, mais croyez-moi c'est un choc...auditif!)
...cela sera la prochaine revendication, qui passera toute seule, bien entendu. Nous aurons ainsi un magnifique spectacle son et lumière, glorifiant la société multiculturelle (peut-être même des subventions de gauchistes pour service culturel rendu.)
Laissons construire, les nids de vermines se traitent à la flamme et à la fumée....

Publié par Imam Kärcher-de-la-croix le 23 juillet 2007 à 12:52

N'est-ce pas exactement ce que disait, avant d'avoir soi-disant changé, le premier ministre turc qui vient, comme on le sait, d'être triomphalement "réélu" ?

"Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats."

http://jcdurbant.blog.lemonde.fr/2007/07/23/turquie-les-mosquees-sont-nos-casernes-mosques-are-our-barracks/

Publié par jc durbant le 23 juillet 2007 à 13:15

Jeter tout sure "la gauche" c'est faire du "prêt à penser", comme faire du prêt à penser c'est de jeter la faute de tout sur l'Occident ... pas très différent comme simplification.

En France ce fut sous des gouvernements de droite que la dhimmitude s'instaura, les gouvernements de gauche suivirent tranquillement et sagement. Le sabordage civilisationnel et culturel de la France eu lieu quand la droite VGD président et ibn shiraq premier ministre créèrent l'immigration de peuplement sous couvert de regoupement familial.

Ceci dit il faut voir la langue de bois des médias français, pardon des médias sous-chiens (comme nous l'ont apris les "indigènes"), au sujet des élections turques "Les islamistes modérés" reportant les élections.

Islamiste étant celui qui veut l'instauration d'un état islamique régi par la sharia ... apartheid, statut de la femme, des minorité, des homosexuels, des enfants, peines corporales, mutilations, haïne ... etc ... "modérés"

Publié par Mikhaël le 23 juillet 2007 à 13:30

A noter que l'auteur de ces paroles....

*********************************
Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques et les mosquées nos casernes.
*********************************

... vient de remporter, haut la main, les élections en Turquie. Suscitant d'ailleurs une embellie boursière à la corbeille d'Ankara, prouvant dans les faits que la machine libérale n'a aucune préférence pour quelque système de gouvernement que ce soit, tant que les usines tournent et que les actionnaires s'enrichissent (en Suisse, l'option Couchepin, vitupérant régulièrement contre l'initiative anti-minarets de l'UDC).

Publié par fass57 le 23 juillet 2007 à 16:01

Le cas turc est parfait pour illustrer la profonde hypocrisie politique de nos "élites": alors que ces-dernières n'ont, chez nous, que le mot "laïcité" à la bouche, (notamment pour nous imposer un islam européen), elle évoquent fort peu la laïcité turque, étant donné que celle-ci est là -bas défendue par l'armée et les milieux opposés à l'adhésion européenne. Il est évident que pour l'islamiste ottoman, la laïcité à l'européenne est le meilleur cheval de Troie pour imposer le fait musulman en Europe, tandis que le kémaliste la considère, à juste titre, comme un outil pour briser le nationalisme local.

Publié par fass57 le 23 juillet 2007 à 16:18

À présent, soit Erdogan se conduit comme un islamiste tout court et instaure de facto un État islamique, soit il ne satisfera pas les «islamistes non modérés», dont il favorise la prolifération en prônant la valeur de la religion islamique, et il se retrouvera bientôt menacé par les «vrais croyants». Air connu.

Mais il a une bonne avance, et l'appui des «Européens». Il pourra aisément présenter «son» Islam comme le vrai Islam, moderniste et tout, et celui de ses extrémistes comme une version d'exaltés à la traîne. Air connu.

Et quand les «islamistes non modérés» deviendront trop visibles, ce sera non pas aux gentils «islamistes modérés» d'en répondre, mais à l'armée turque de faire le ménage. Et on le lui reprochera quand elle aura la main un peu lourde.

Et les «vrais croyants» se sentiront encore plus victimisés. Et les corans continueront de se multiplier, et de plus en plus d'enfants le liront à la place du reste. Et au total, il y a aura de plus en plus d'«islamistes non modérés», de plus en plus d'Islam.

Publié par ajm le 23 juillet 2007 à 16:42

non "ajm" & alii : Erdogan & co ont réussi à redresser l'économie turque, qui périclitait à cause de la politique menée par leurs prédécesseurs incompétents et corrompus
il ne faut pas tomber dans le simplisme et ne voir que des mosquées et leurs symboles : un très grand nombre de Turcs (ils sont dominants) sont très bien intégrés dans le système productif et c'est là un excellent exemple, mais un peu rare, qui montre que ce milliard de Musulmans peut, sous certaines conditions, ne pas présenter de danger, donc être supportables en tant que tels
lire :
http://fr.news.yahoo.com/afp/20070723/tbs-turquie-elections-economie-bourse-f41e315.html

Publié par JPC le 23 juillet 2007 à 17:25

Pour en revenir aux mosquées, j'ajouterai qu'il s'agit d'un lieu de soumission par excellence mais de soumission politique et légale, un politburo façon désert. On y célèbre les mariages civils (le mariage religieux n'a aucun sens en islam, dans la mesure où il n'existe ni rituel ni sacrement). On y prélève l'impôt parallèle la Zakat (l'un des 5 piliers de l'islam), on y assure l'éducation scolaire (par l'apprentissage par coeur des versets du coran et des hadiths), enfin on y juge les litiges en droit de la famille, statut des personnes et succession (justice cadiale parallèle) et on édicte des conduites sous forme de rescrits (les fameuses fetawas). Bref on y construit une société parallèle qui porte en outre des injonctions (taklif) illicites et non de simples incitations (injonctions à la haine, à la discrimination, aux actes de barbarie, à l'esclavages, etc.) et sans oublier la légitimation de causes et de buts de guerre (jihad). Une porte sublime sur une culture de "l'autre" certes, mais façon bouillon...

Publié par louis le 23 juillet 2007 à 17:30

Les mosquées ne sont malheureusement pour notre société qu'un symptôme. Et je pense qu'aujourd'hui, c'est bien plus profondément et en nous même que nous devons regarder.

On nous parle du bien fondé de la société pluriculturelle mais j'apprécierais d'y ajouter une notion. Le pluriculturalisme implique de par sa définition même, que plusieurs cultures se côtoient pacifiquement (Quand je dis pacifiquement c'est à tous les niveaux d'échanges, sociaux, économiques, intellectuels, spirituels,...) dans une aire géographique définie. Ce qui implique plusieurs cultures forte et clairement définies dont les composants montrent une certaine assurance.

Une première question que nous pouvons nous poser est donc: A quel point notre société et civilisation occidentale défends t'elle encore une culture commune forte. Lorsque nous regardons le comportement de nos concitoyens et le nombre de pratiquants réguliers des religions historiquement liées à notre civilisation, nous pouvons objectivement douter de la force et de l'unité de notre culture. Certains vont dire que d'ici 25 ans l'Islam sera la première "religion" pratiquée en Suisse. (Quand je vois le florilège des mosquées et autres centres islamiques qui ont fleuri sous nos latitudes et le nombre des personnes qui en sortent régulièrement, cette affirmation ne me parait même pas si aberrante.)

Mais le pluriculturalisme est l'enfant mal né de la "bien pensante" tolérance. J'apprécierai également sur ce point d'apporter une réflexion. Selon une définition simpliste que vous me pardonnerez, la tolérance peut être liée à deux points principaux: le respect des libertés d'autrui et des libertés limitées et accordée dans certaine circonstances. La tolérance implique donc des limites et ces limites sont fixées dans une société démocratique par les lois qui permettent la vie en communauté et garantissent la souveraineté et les libertés constitutionelles des citoyens. Il apparaît néanmoins aujourd'hui que bien souvent la seconde partie de la définition du terme de "Tolérance" (La partie castratrice) soit oubliée et que l'individualisme général utilise ce mot de manière erronée pour désigner l'insidieuse indifférence. Une majorité de personne n'en n'a rien à foutre que son voisin batte sa femme et que celle-ci n'ait que ses yeux et ses mains qui dépassent de sa burka. Ce qui entre nous cache très bien les bleus. Moi c'est moi, l'autre fait ce qu'il désir c'est son problème, tant qu'il ne m'approche pas trop. Voilà sous quelle forme se présente notre Toll-indifférence.

J'entamerai ma conclusion par cette phrase de Boumediene : "Nous conquerrons la France avec le ventre de nos femmes". Je pense sincèrement que s'il se trouvait aujourd'hui face à Une Union des désunions Européenne (autre problème) il aurait tôt fait de changer la France par l'Europe. Et que là est un problème bien plus insidieux que les mosquées et imam extrémiste qui s'il sont dangereux offrent malgrès tout une bonne visibilité et possibilité de contrôle si volonté il y avait.

Ca me rappelle la maxime: "Mon dieu, occupes toi de mes amis, mes ennemis je m'en charge." Voilà qui pourrait résumer notre situation. C'est de notre propre intérieur et par nos amis bien pensants, "toll-erronnants" et promoteurs d'un pluriculturalisme où ils ont oubliés qu'il était nécessaire qu'ils connaissent et mettent en application les valeurs de leur propre culture que vient véritablement le danger.

Historiquement, je ne connais malheureusement pas de conflit latent de ce type qui n'ait pas fini par l'élimination de la culture de la partie la plus faible.

A nous de savoir qui nous sommes et si nous sommes prêts à payer le prix du réveil de notre force. Il n'est pas trop tard pour bien faire.

J'ai confiance.

Pour information voilà également une petite phrase de notre très cher prix Nobel de la paix 1994 Yasser Arafat à propos du conflit israélo-palestinien : "Notre arme secrète, c'est la matrice de nos femmes".

Publié par Andenmatten le 1 août 2007 à 16:02

La société multiculturelle est le cache-sexe du systéme socialo-libéral à la sauce anglo-saxonne.
C'est une donnée à prendre en compte dans nos analyses.
La tolérance, c'est l'autre nom de la perte de souveraineté et du désarmement moral.
Remarquons qu'on nous ordonne d'etre tolérant.
C'est une injonction, pas un choix.

Publié par Three piglets le 1 août 2007 à 18:00

La culture n'est pas seulement, de loin, ce terme passe-partout censé définir les gens de manière politiquement correcte, mais qui revient en fait à les cataloguer. Une culture est aussi, plus simplement mais aussi plus concrètement, un effort collectif, participatif, vers un objectif commun. C'est-à -dire vers l'avenir.

Ainsi, il faut cultiver une immense série d'activités concertées et coordonnées pour qu'une société donnée soit capable de générer des réalisations telles que des symphonies, des opéras, des réseaux de communication par satellites, des voitures à hydrogène, des centres hospitaliers innovants, des sondes spatiales, des armées efficaces. C'est cela, la culture moderne, c'est ce savoir-faire, cette infrastructure flexible à la base de toutes les cultures spécifiques, qui permet aussi bien de construire des avions de ligne que de répandre la connaissance.

Et ces fulminations, ces démonstrations toujours un peu violentes, basées sur (ce qu'on est prié de percevoir comme étant) l'ethnie, les coutumes, les partis politiques ou les croyances religieuses ne sont jamais que les résidus du moyen-âge ou l'expression d'une barbarie moderne. Elles n'ont aucun avenir, car si elles l'emportent, elles ne peuvent engendrer que le passé.

Publié par ajm le 1 août 2007 à 18:31

__Et ces fulminations, ces démonstrations toujours un peu violentes, basées sur (ce qu'on est prié de percevoir comme étant) l'ethnie, les coutumes, les partis politiques ou les croyances religieuses ne sont jamais que les résidus du moyen-âge ou l'expression d'une barbarie moderne.__

Vous connaissez mal la période médiévale.
Sachez simplement que les plus grands massacres eurent lieu dans notre époque moderne et éclairée.
Vous croyez encore aux lendemains qui chantent.

Publié par Three piglets le 1 août 2007 à 19:22

Les plus grands massacres sont modernes parce que la planète est beaucoup plus peuplée à l'ère moderne, mais ils vont en régressant depuis ceux du XXe siècle, lesquels procédaient encore de motivations ethniques, nationalistes ou idéologiques.

À l'heure actuelle, les grands massacres peuvent provenir de l'Islam (dont la religion permet de les bénir de plus haut des Cieux) ou, en cas de pépin, de la Chine (et dans une moindre mesure de la Russie). Mais le moyen-âge peut aussi fort bien revenir chez nous, de l'intérieur (et c'est un Suisse qui connaît un peu la bataille de Morat qui vous dit cela), notamment à cause d'adeptes du réduit.

Publié par ajm le 1 août 2007 à 19:58